Mais s'il n'y avait pas eue ces doux fous volants sur leur droles de machines il n'y aurait jamais eue d'avions et encore moins de modèles réduits.
En faits ce qui a manqué sur cet engin c'est un petit moteur à hélice d'appoint, au moins pour le mettre en vol, car il a quand même décollé trois fois quand il a ralentis les battement des ailes.
Ce qui est fabuleux c'est qu'il s'est mis à rouler lors du battement des ailes et uniquement par ces battements.
En faits ses ailes auraient du être à géométrie variable et à incidences variable, tout comme l'antoinette à voilure déformable, les oiseaux ne font pas que battre des ailes mais impriment aussi des mouvements d'incidence, c'est ce qui leur permet d'avancer.