Mais c'est trop bon ça! N'oubliez pas, le vent est formateur.
Ça me rappelle st Ferriol, lorsque j'y ai volé il devait y avoir une centaine de km/h de vent.
Il fallait écarter les jambes pour ne pas être déstabilisé! Mais quel souvenir, ça tien plus du défi qu'autre chose car on a vraiment l'impression d'envoyer le planeur à l'abattoir!
Bon, il me tarde bien d'y revenir, je veille la météo mais c'est pas génial encore...